Après la disparition de la chanteuse G.G. Léopoldine, Tiburce Koffi, le Président du Conseil de Gestion et de Restructuration du Burida (COGER) a fait une déclaration depuis la Caroline aux Etats-Unis où il séjourne actuellement. Voici la déclaration que nous publions in extenso.
DÉCÈS DE G.G. LÉOPOLDINE :
La déclaration officielle du Président du Conseil de Gestion et de Restructuration du Burida (COGER)
La douloureuse nouvelle de la disparition de la chanteuse G.G. Léopoldine nous installe dans une réelle affliction. La famille des artistes musiciens ivoiriens vient donc de perdre, encore, une illustre voix ; et la Côte d’Ivoire, une citoyenne respectable qui avait toujours su se faire aimer du grand public.
G.G. Léopoldine était une belle femme aussi bien au physique que dans l’âme. Elle était surtout une voix agréable et chargée de belles promesses. La cruelle maladie, qui avait entravé sa carrière depuis des années, a fini par l’emporter.
G.G. Léopoldine était une artiste au commerce agréable. Nous retiendrons qu’il n’y a jamais eu de scandale sur cette chanteuse dans cet univers si médisant et si tourmenté de la Musique urbaine ivoirienne.


Discrète, et d’une politesse remarquable, Léopoldine était l’amie de tous, notamment de l’écrivain Hyacinthe Kakou (disparu) et à moi. Sa disparition est donc un deuil qui me frappe personnellement. En ces instants pénibles, j’adresse mes condoléances les plus brûlantes à la grande Communauté des Créateurs de notre pays, à sa famille biologique aussi.
Le Conseil de Gestion et de Restructuration du Burida que j’ai l’honneur de présider, s’incline sur sa dépouille, en attendant que de plus grands hommages officiels lui soient rendus. Mes condoléances à tous.
De la Caroline (USA),
Tiburce Koffi.