Un week-end de blagues et de fous rires s’annonce à Abidjan les 4, 5 et 6 février 2022. Il s’agit de la 7e édition du festival Abidjan Capitale du Rire. Comme les rendez-vous passés dans le cadre de cet évènement, tout démarre le vendredi 4 février à 21h à l’hôtel Pullman Abidjan-Plateau avec la cérémonie d’ouverture. L’organisation prévoit une très belle soirée qui sera animée par l’homme aux multiples talents, Joel-Jo’arts. Ensuite, le Palais de la Culture d’Abidjan-Treichville prendra le relai pour accueillir les amoureux de l’humour les 5 et 6 février.

Dans l’antre de la culture de la capitale économique de la Côte d’Ivoire, Willy Dumbo ouvrira les vannes le samedi 5 février à 20h dans un one-man-show inédit dans la salle Lougah-Djédjé. « Ce sera un show de très grande qualité à vivre », a posté le festival sur sa page Facebook. « Hello mes amis, je vous souhaite une semaine colorée. N’oubliez pas le rdv de ce samedi au palais de la culture. Mon 1er One Man Show intitulé ‘’Immaturité2.0’’ », a aussi posté l’humoriste dans son fil d’infos Facebook.

Le 7e Abidjan Capitale du Rire refermera ses portes le dimanche 6 février à 16h au Palais de la Culture. Ce sera aussi un spectacle exclusif intitulé ‘’La battle de l’année’’. Il sera animé par Brice Anoh. Ce sera une sorte de concours de performance artistique entre ‘’Jeunes et Vieux’’ humoristes. Sur la scène de la salle climatisée François Lougah-Ernesto Djédjé, on retrouvera toute la crème d’humoristes africains qui se donneront la réplique. Les deux générations vont se mesurer le talent dans la créativité et la pertinence des thèmes abordés. L’objectif principal restant à faire tordre de rire l’assistance.
Abidjan Capitale du Rire, c’est le plus grand festival d’humour africain. Imaginé par Mamane et produit par Gondwana-City Productions, l’objectif est de proposer le meilleur de l’humour à la population abidjanaise. Sous l’impulsion de la direction artistique de Mamane, chaque année depuis 7 ans, le festival ACR sait se réinventer. Les invités ne viennent pas que pour rire. Mais ils sont également là pour assister à des spectacles qu’ils ne retrouveront pas ailleurs.
Par Omar AK